J’ai vu le vent souffler vers moi ses lourds nuages,

Senti les noirs démons concocter leurs ouvrages.

J’ai eu peur de partir comme on peut fuir l’orage,

Du livre de mon cœur en refermer les pages.

J’ai pleuré. J’ai gémi, l’âme pleine de rage :

« Mais dans quel océan me faut-il que je nage ?

« Dois-je implorer Hadès et me donner en gage ? »

Puis me suis souvenu de cet ancien adage :

« Aide-toi et le ciel t’aidera ». Et le ciel…


C’était toi !


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